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Voyage à Saint Pétersbourg 
avec Alisa, responsable d’Univie à Samara

Aller signer un contrat avec une nouvelle agence partenaire donne à Alisa l’occasion de profiter encore une fois des splendeurs de Saint-Pétersbourg, ville grandiose s’il en est !

La cité impériale sert d’écrin au palais de l’Ermitage, aujourd’hui  encore le plus grand musée du monde, et la directrice d’Univie à Samara oubliera l’Agence pour quelques heures afin de visiter les collections de ce musée exceptionnel, collections dont certaines ont été déjà rassemblées par l’Impératrice Catherine la Grande et son petit-fils le tsar Alexandre.

 

 

UNIVIE partage avec vous ces moments privilégiés.

 

Après un départ dans la brume à Samara.

 

 

Alisa Komarova rejoint son hôtel et y rencontre son amie Niguina pour papoter un peu autour d’un verre.

 

 

Rendez-vous est pris pour le lendemain, Alisa découvre peu à peu la ville, ici Place Vosstanïa !

 

 

L’entretien avec la responsable de l’agence est encore loin et Alisa profite du temps clément pour une flânerie dans la ville des Tsars. Saint Pétersbourg offre son panorama exceptionnel avec ses artères monumentales, ses ponts et ses canaux.

 

 

La forteresse Pierre et Paul ouvre l’horizon sur le Golfe de Finlande dans lequel se jette la Neva, réseau fluvial vital et majestueux de la ville.

 

 

Les deux jeunes femmes se font une joie de se retrouver et de partager une escapade gourmande chez Eliseeïv, une des institutions de la Perspective Nevski, la luxueuse artère commerçante de Saint Pétersbourg.

L’emblématique épicerie Elisseïev. Luxe des ferronneries et des volutes évoquant les motifs floraux caractéristiques de l’Art Nouveau.

L’heure est venue de composer le ballotin pour un cadeau qui sera apprécié sans nul doute.

Pause gourmande dans un décor de rêve.

L’industrie du chocolat russe, qui se développe à un rythme croissant, a le vent en poupe: beaucoup de gens en Russie investissent actuellement leur savoir-faire dans l’industrie du chocolat artisanal de luxe.
De nombreuses sociétés se sont en effet implantées ces dernières années à Moscou, comme dans d’autres villes, parmi lesquelles Kirov (900 km à l’est de la capitale russe) ou Ekaterinbourg, dans l’Oural.
Dans un pays comme la Russie, exposée souvent à des périodes particulièrement froides, le véritable chocolat artisanal est très demandé car il « fait remonter le moral et renforce l’immunité ».
« Le chocolat, c’est le meilleur moyen de lutter contre la dépression », assure Evgueni Trostentsov, organisateur du salon du chocolat. Il faut en consommer tous les jours pour ne pas perdre son optimisme ».

Luxe des vitrines et des étals couverts de chocolats artisanaux et de friandises. 

Les fauteuils sont confortables, il fait bon et le salon embaume le chocolat chaud. 
Le plus dur reste à faire pour Niguina : il faut choisir ! 

On s’attendrait presque à voir surgir Joséphine Baker. 
Au mur une « réclame » pour le vin au quinquina de Banyuls : la France est souvent à l’honneur en Russie lorsqu’il s’agit de gastronomie et de vin. 

Un bijou de l’Art Nouveau dont le bâtiment construit en 1902 fait l’angle de la perspective Nevski et de la rue Malaïa Sadovaïa à Saint-Pétersbourg.

 

 

 

LE THÉÂTRE ALEXANDRINSKI
Le portique du théâtre Alexandrinski est orné de colonnes corinthiennes surmontées d’un Apollon sur son char.
C’est ici que se produit la plus ancienne troupe d’art dramatique de Russie. On y joue les classiques du répertoire Russe ainsi que des ballets (l’école de ballet est située dans la rue Rossi, derrière le théâtre). 
Donnant sur la perspective Nevski, et dans le square devant le théâtre, se dresse la statue (1873) de Catherine II, dite la Grande Catherine. Elle est entourée de ses favoris : Potemkine, prince de Tauride, le général Souvorov, le prince Orlov, le poète Derjavine, Betski, le fondateur des beaux-arts, le maréchal Roumiantsev et Ekaterina Dachkova, présidente de l’académie des sciences de l’époque. 

Le CHÂTEAU SAINT MICHEL est une ancienne résidence impériale construite en 1797-1801 pour l’empereur Paul Ier. Chaque façade est d’un style différent : classicisme français, néogothique, néo-renaissance italienne.

Son nom de Saint-Michel provient de son église intérieure vouée à l’archange Saint Michel.
Paul 1er nourrissait une obsession pour son armée et redoutait terriblement un coup d’état (qui finalement s’est produit) avait voulu donner un aspect militaire à son château qu’il a fait entourer de douves.
Le bâtiment est baptisé château des Ingénieurs en 1823 lorsque l’École supérieure du Génie s’y est installée.

 

 

Il ne faut pas perdre de temps si l’on veut profiter de la longue visite du musée de L’Ermitage. L’immense bâtisse attire en nombre les touristes de tous les pays et il faudra s’armer de patience avant de découvrir les trésors accumulés depuis des siècles. Aller vite !! Alisa s’engouffre dans le métro direction « le plus grand Musée au monde ».

 

 

PALAIS DE L’ERMITAGE. 

Façade Baroque du Palais d’Hiver.
C’est de cette aile du palais que vient le nom de l’ensemble architectural.
Les façades peintes en turquoise font ressortir les ornements dorés à l’or fin. 
Le Palais d’hiver de l’Ermitage (en russe : Эрмитаж) a été conçu par Catherine II pour y accueillir ses très riches collections d’art et il fut consacré comme musée par Alexandre 1er (1777-1825), son petit fils. 
Alexandre déclara le palais musée impérial. Il y a néanmoins vécu pendant plusieurs années. L’empereur y séjournait alors entre l’automne et le printemps comme le faisait sa grand-mère.

La façade du Palais d’Été de Tsarskoïe Selo (ou Palais Catherine) est également bleue.                                                                                                                   

 

 

AU BAS DE L’ESCALIER DU JOURDAIN….
Chaque coursive de colonnades est ornée d’un riche statuaire de bustes antiques en chryséléphantine (technique datant de la Grèce antique et réunissant sur une même statue des parties d’ivoire sculpté-utilisées pour représenter la chair-et des parties d’or ou de bronze-qui figurent draperies et armures.
On imite parfois la technique avec du biscuit pour figurer l’ivoire et des pierres semi-précieuses comme la malachite pour remplacer le bronze.
Bien que construit par Elisabeth, il fut le palais favori de Catherine de Russie qui s’y installait dès les beaux jours.

 

 

 

L’ESCALIER DU JOURDAIN. 
Après un bal donné au Palais d’Hiver en 1902, la duchesse de Sutherland écrivit : « Les marches du Palais étaient gardées par des Cosaques et des centaines de valets en livrées écarlates. 
Je n’ai jamais de ma vie eu de vision plus somptueuse ; la lumière, les uniformes, les salles immenses, la foule, la musique composaient un spectacle presque barbare ! » 
le Tsar descendait cet escalier pour la cérémonie de la « bénédiction des eaux » de la Neva, une fête orthodoxe se rapportant au baptême du Christ dans le Jourdain. L’escalier est l’une des rares parties du palais qui a conservé totalement le style d’origine du 18ème siècle.
Le hall d’escalier dispose d’un plafond du 18ème siècle représentant les dieux de l’Olympe.
Il est orné de statues d’albâtre : la Sagesse et la Justice par Terebenev; la Grandeur et l’Opulence par Ustinov; la Fidélité et Équité par Leppe et Mercure et Mars par Manuylov.

 

EXPOSITIONS PERMANENTES…
VICTOIRE DE POLTAVA (AE Kotzebue) 
Victoire décisive de Pierre le Grand de Russie sur Charles XII de Suède dans la Grande Guerre du Nord. La bataille mit fin au statut de grande puissance de la Suède et marqua le début de l’hégémonie russe en Europe orientale. La bataille eut lieu au nord et à l’ouest de Poltava, ville située à l’ouest de la Vorskla en Ukraine, et opposa une armée russe de quatre-vingt mille hommes commandés par Pierre le Grand et le prince Alexandre Danilovitch Mentchikov, à dix-sept mille Suédois placés sous le commandement de Charles XII.

 

 

VASE EN MALACHITE ORNÉ D’OR FIN
Dans l’Oural, la mine de Mednoroudiansky appartenant au comte Nikolaï Nikititch Demidoff, un important filon de 250 tonnes de malachite fut découvert en 1835. Cela permit de produire de gros objets en grande quantité, et de décorer en particulier, les intérieurs de plusieurs palais en Russie. Le plus gros bloc de malachite qui ait été trouvé dans cette mine pesait 40 tonnes 

Consacrée à la victoire sur les troupes napoléoniennes. Aux murs sont accrochés 332 portraits de généraux russes. Au fond de la galerie on découvre le portrait de parade d’Alexandre 1er, avant dernier tsar de toutes les Russies.

GALERIE PATRIOTIQUE 1812.
Parquets marquetés et plafonds en trompe l’œil imitant les stucs à caissons.

La statue de marbre par Guissepe Mazzuoli                                                                                                                                                                               

 

GALERIE HISTOIRE DE LA PEINTURE ANTIQUE.
Groupe en marbre blanc
Pygmalion voit s’animer la statue de Galatée
Légende rapportée dans les métamorphoses d’Ovide.
1774, Falconnet.
Le sculpteur très apprécié de Louis XV avait été sollicité pour réaliser le grand bronze de la statue équestre de Pierre le Grand par Catherine de Russie.

« DANSEUSE » de  ANTONIO CANOVA 1812.

 

 

ZEUS EN OLYMPE.
La statue fut réalisée par Fidias, célèbre sculpteur de l’époque classique vers 430 av-JC.
La statue était originellement chryséléphantine (ivoire et or) mais fut malheureusement détruite. 
De nombreuses reconstitutions furent réalisées par la suite comme celle de l’Ermitage.

 

 

SALLE DES ARMURES et TRIPTYQUE SCULPTÉ.
13 932 armes et armures y sont exposées dans des vitrines mais aussi sur une cavalcade sur laquelle sont présentées des armures de la Renaissance !

 

 

COLLECTION ÉGYPTOLOGIQUE.   
L’un des points forts de l’exposition.
La collection fut créée en 1852, l’année où le musée a été rendu accessible au public.
La collection personnelle de la comtesse Alexandra Lavalle et celle du duc Maximilien de Leuchtenberg ont enrichi le fond puis l’orientaliste soviétique Vassili Struve a été responsable de la collection égyptienne de l’Ermitage de 1918 à 1933.

 

 

PETITE SALLE DU TRÔNE. 
(trône de Pierre Ier) 
Panneaux peints et voûtes finement enluminées. Les murs sont tendus de velours ancien, broché d’argent, les lustres d’argent et le sol marqueté ajoutent a l’impression de faste de cette salle, l’une des plus riches du palais par son décor et la diversité des moyens utilises à cet effet.

SALLE DES ARMOIRIES AUTREFOIS APPELÉE SALLE BLANCHE 1000 m² ! 

Armoiries des provinces russes sur les écussons des lustres.
Elle accueillait les dîners de galas avant de se transformer en salle principale de l’hôpital durant les 2 guerres mondiales.

 

 

HORLOGE DU PAON.

Il s’agit en fait, d’une grande horloge automate dans laquelle s’animent trois oiseaux posés sur des branches. Elle est ornée de pierres précieuses et protégée d’une cage de cristal.
Cette horloge a été imaginée et construite par James Cox vers 1775 au Royaume-Uni et achetée pour l’impératrice en 1781 par le Prince Potemkine, l’un des favoris de Catherine II de Russie. 
« L’horloge du paon » est exposée de manière permanente dans la salle du pavillon du Petit Ermitage.
Les automates, un coq, un hibou, et bien sûr un paon symbolise le matin, le midi et le soir. La libellule symbolise l’éphémère de l’existence. Ils poussent chacun leur cri et battent des ailes dans un cliquetis d’étain et de cuivre doré. 
En fait, seul le petit champignon au pied de l’arbre donne vraiment l’heure !
« C’est le jouet favori de nos présidents, qui rient comme des enfants », Larissa Korabelnikova, directrice de la communication du musée.

 

 

LE BÂTIMENT D’ÉTAT MAJOR. 
c’est l’un des monuments architecturaux les plus célèbres de Saint-Pétersbourg. Il a été construit entre 1820 et 1830 pour réunir deux bâtiments par à un arc de triomphe célébrant la victoire de la Russie dans la guerre de 1812. Cette arche majestueuse est un symbole de gloire et de triomphe militaire comme en atteste la rigueur et même l’austérité de son architecture.
Il forme un axe de symétrie avec la partie centrale du Palais d’Hiver.
Des corniches et des architraves modestes entourent les fenêtres du troisième étage (l’étage Parade). Trois portiques corinthiens ponctuent les 580 mètres de longueur du bâtiment.
L’aile est du bâtiment abritait à l’origine le ministère des Finances, le ministère des Affaires étrangères et plusieurs autres ministères de l’Empire russe. A partir de 1917, différentes institutions et organisations ont occupé le bâtiment, et notamment le Commissariat du peuple aux Affaires étrangères.
Aujourd’hui, il est le siège d’un département militaire mais lorsque la reconstruction grandiose de l’édifice général du personnel sera terminée, les collections d’art décoratif russe et européen, les peintures et sculptures des 19e et 20e siècles, des œuvres d’art contemporain y seront installées. 
L’exposition comprendra en outre les intérieurs historiques rénovés du Ministère des Affaires étrangères de l’Empire russe et les appartements personnels du chancelier comte Karl Nesselrode.

 

 

L’heure du rendez-vous à l’agence a sonné. 

Alisa fait la connaissance du personnel et discute amicalement mais très sérieusement avec la responsable. Pas question de laisser au hasard le moindre aspect des contrats. 

 

 

Pour fêter le contrat de nôtre nouvelle Agence Partenaire et après avoir découvert cette merveilleuse ville, rien de mieux qu’un bon dîner avec notre nouvelle partenaire dans un splendide restaurant situé en face de la Place Saint Isaac. Une fois dîner, il est déjà l’heure de rentrer à Samara. 

« Do svidaniya Sankt-Peterburg ! »

 

 

 

 



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